1. Le matériau
Les détaillants offrent une grande variété de produits. Selon votre budget, vous pourriez opter pour le chêne, l’érable, le pin ou le merisier, par exemple. Cela dit, le matériau le plus commun et le moins dispendieux pour le plancher flottant est le MDF, c’est-à-dire des panneaux de fibres de bois à densité moyenne. Il existe aussi du HDF, une variante à haute densité plus résistante.
2. Le grade
Les lames de bois sont classées selon leur grade, soit l’uniformité de leur couleur et le nombre de nœuds qu’elles comprennent. Pour un look plus authentique, elles ne doivent pas toutes être exactement identiques.
3. L’épaisseur
Des planches plus épaisses ne signifient pas qu’elles sont de meilleure qualité. Elles permettent toutefois d’atténuer les irrégularités si votre sous-plancher s’avère inégal.
D’autres éléments à prendre en compte sont : le type de bois, la disposition des lames, la finition, l’entretien et l’installation. Pour plus de conseils, renseignez-vous auprès d’un professionnel. Ce dernier saura vous guider dans votre choix en fonction de son expertise et de vos besoins.